Prendre le temps d’écrire alors que. J’avais dit, non. Waw. Simplement ça. Malgré qu’il parte, savoir ne pas l’aimer trop fort, l’aimer sans conditions comme un véritable ami de cœur. Se dire que ouais mais il m’a ouvert les yeux... Sur tellement de choses autour de moi. Merci. D’être une aussi belle personne, de savoir autant me… simplifier. Se dire que ma liberté m’est précieuse et que je ne sais pas pourquoi je cherche toujours à me faire prendre dans de faux filets. Se débattre et puis se perdre un peu. Se dire que non, non ça ne va vraiment pas le faire tu sais, on n’a pas le même mode de vie, on ne vit pas sur le même rythme tu sais… Moi c’est plutôt électro, dub, jazz, et je rêve d’une vraie soirée de gitans… Et puis c’est alcool fêtes soirées nuits blanches à ne plus savoir qu’en faire… La vraie vie, la vraie liberté, se dire que j’ai deux mois devant moi, vouloir faire la tournée des festivals, aller où l’envie me prend de partir… Etre ici et là, entre ailleurs et nulle part, entre eux et nous, toi, et moi. Filer droit devant et rencontrer, tracer ma route et aller à ma propre rencontre, au-delà du connu, du facile, du quotidien inévitable...