Ne plus savoir qu’en faire. Vouloir. Pouvoir. Savoir. Ou non. N’être qu’un paquet d’envies indéfinies. Observer l’ensemble de ces couples qui se forment et me dire merde moi aussi je veux des bisous. Evidemment que j’en veux. Mais qui et pourquoi sinon parce que tu te trouves au bon endroit au bon moment ? Ils sont plusieurs à te dire de profiter, ouais allez on s’en fout, profite et si c’est bon tant mieux… Tu voudrais à la fois tant et plus et puis le moins possible, comme un minimum vital. Tu oscilles entre l’absolu et le rien, indéfinie, indécise. On te dit tu mérites mieux et t’aimerais y croire, mais. Mais. C’est trop facile. Bizarrement t’as envie d’aucun d’entre eux. Peut être juste qu’on te foute la paix. Ou qu’on t’embarque dans des rêves impossibles, mais y’en a pas un qui te fasse planer au-dessus de tout ça ici… Alors tu te dis que tu te mettrais bien à fumer un ptit pétard, histoire de voir quelque chose de nouveau dans ta vie. Mais ça serait trop facile, encore. La légèreté dans la fuite, c’est déjà tellement ton quotidien. Manquerait plus que tu te noies dans un rond de fumée, et t’auras tout gagné. Encore.
Commentaires :
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Arrête de te plaindre, bordel.