Se dire simplement, simplement : « waw ». Percus, jongle, lac, rencontres improbables, et du son, du bon son… Merci, merci encore, à vous tous. C’est juste énorme. Une maison du bonheur, une auberge espagnole où le rêve brille dans tous les yeux ; simple, convivial, spontané, vrai. Bon. Scotchant, l’un de ces endroits d’où l’on ne part pas, qu’on ne peut pas quitter – on en emmène un morceau avec soi ou bien on y reste réellement. L’évidence ne peut être que là, il n’en existe pas d’autre que d’être là à ce moment là avec ces personnes là.
Peut être oui, ola on se la pète. Le bonheur d’en profiter, d’avoir eu cette chance, d’avoir croisé les bonnes personnes au bon moment. Mais le bonheur exaspère et s’il s’affiche il n’en est que plus insupportable.
Penser ce hors temps improbable. Ces petits riens, que voulez vous. La vie qui commence ici, sans doute. Et ça n’est vraiment qu’un début. Prends soin de toi, prenez soin de vous, profitez de vos voyages – bien que vous partiez sous d’autres latitudes, n’oubliez pas ce qui existe ici ; nous sommes prêts à tout, ensemble.
Se remettre à ses abandons ; réapprendre, réinventer, forte d’une énergie nouvelle.
Réentendre Ben Harper et penser, mais
que voulez vous je n’y peux rien si je craque toujours. Me demander si, peut
être que ça n’est pas le bon moment pour ça, parce que. Et alors ? Lui
dire. Vivre.
Se saouler de vivre.
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