Il y a
Il y a les trop de choses en tête et l’impossible
inconséquence de ne pas s’y mettre. Il ne manquerait plus que de ne plus rien
peser, mais tout aspire bien trop d’inévitable pour ne pas avoir de poids.
Alors on s’imagine, et puis à force d’y croire on se dit qu’on va s’y remettre, s’y atteler (à nouveau), et avancer ne serait-ce que d’un pouce.
Il y a les rêves aussi, qui s’immiscent dans le présent comme d’interminables et délicieuses utopies, bien que tout parait parfois aller à contresens. A moins que ça ne soit toi qui soit à contre-courant…
Et puis tu synthétises après y avoir réfléchi sans y réfléchir tous ces jours-là ; quand l’impression d’être efficace est plus qu’une sensation mais (presque) une réalité.
Alors on s’imagine, et puis à force d’y croire on se dit qu’on va s’y remettre, s’y atteler (à nouveau), et avancer ne serait-ce que d’un pouce.
Il y a les rêves aussi, qui s’immiscent dans le présent comme d’interminables et délicieuses utopies, bien que tout parait parfois aller à contresens. A moins que ça ne soit toi qui soit à contre-courant…
Et puis tu synthétises après y avoir réfléchi sans y réfléchir tous ces jours-là ; quand l’impression d’être efficace est plus qu’une sensation mais (presque) une réalité.
Il y a la gentillesse de ces nouveaux horizons à rencontrer, la camaraderie et puis la fatigue. Et tant de fatigue que même la faim n’existe pas. Demain la raideur dans les muscles qui te donnera une démarche un peu chaotique, mais même toute cassée tu souris t’en as bien profité, faire sortir tout ça de toi, ça te fait du bien vraiment, dépenser l’énergie et évacuer les tensions – jamais rien d’autre que ça les mardis soirs, vraiment c’est promis, parce que tu sens comme c’est bon : nécessaire, rien d’autre.
Ecrit par Perfect-plank, le Mardi 21 Octobre 2008, 22:45 dans la rubrique Actualités.
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