A un autre insaisissable.
C’est chouette de recevoir un ptit mot de toi, je ne m’y attendais pas.
Tu vois j’en étais justement à me demander comment on sait d’où on vient, où on va, qui on est. J’me disais que la majorité de notre entourage change avec les années, avec nous, avec nos rythmes et les suites qu’on se donne, et puis que certaines personnes restent, souvent celles auxquelles on s’attend le moins. Et puis voilà, un petit mot de toi comme pour confirmer le fil de mes pensées en dérive.
Tu sais, je me suis demandé quelques fois (ptêtre même assez souvent, en fait), si toi et moi on ne ferait jamais que se croiser. Si on n’était destinés qu’à rester une récurrence dans la vie de l’autre, principalement de l’absence et puis de temps à autre un sourire, un coucou en passant. Ouais, j’me suis souvent demandé ça, sans plus chercher à forcer les réponses. Je me dis que ça fait un paquet d’années mine de rien, et qu’on est toujours sans se connaître. Et ça a quelque chose de.. je ne sais même pas comment le traduire, enfin c’est chouette et marrant, mignon et dommage, un peu dingue et tout ça. Je me disais que peut être un jour on aura des vies installées avec des familles et tout, et j’me suis demandé si on continuerait à être des récurrences dans la vie de l’autre, et je trouverais ça plutôt marrant en fait.
J’me disais aussi bien que ça n’ait aucun rapport, qu’on ne change jamais vraiment, jamais complètement. On est toujours en devenir, même si c’est bon de se rappeler d’où on vient. J'pensais aussi que tout n'est toujours qu'une question de timing et de circonstances, et qu'on n'a jamais été dans le bon.
J’sais pas trop pourquoi j’pensais à tout ça, en ce moment, je sais pas trop. Alors c’est agréable ces quelques mots de toi, même si tu dis pas grand-chose, juste une petite pensée ça m’a fait sourire.
Je suis toujours à lyon, au moins pour quelques temps encore. J’attends une réponse pour une thèse en suisse, et puis je ne sais pas si j’ai envie de rester ici. J’aime cette ville mais j’y suis sans attaches, et moi j’ai besoin de me tisser des ancrages là où je vis. Alors à voir, p’t’être que j’vais continuer de courir et puis, on verra.
En tous les cas, je t’embrasse, te souhaite tout le meilleur, espère des tes nouvelles, et j’suis ravie que ton atterrissage prenne plus de temps que prévu, j’me dis que c’est signe que tout va bien, et que t’es heureux.
Tu vois j’en étais justement à me demander comment on sait d’où on vient, où on va, qui on est. J’me disais que la majorité de notre entourage change avec les années, avec nous, avec nos rythmes et les suites qu’on se donne, et puis que certaines personnes restent, souvent celles auxquelles on s’attend le moins. Et puis voilà, un petit mot de toi comme pour confirmer le fil de mes pensées en dérive.
Tu sais, je me suis demandé quelques fois (ptêtre même assez souvent, en fait), si toi et moi on ne ferait jamais que se croiser. Si on n’était destinés qu’à rester une récurrence dans la vie de l’autre, principalement de l’absence et puis de temps à autre un sourire, un coucou en passant. Ouais, j’me suis souvent demandé ça, sans plus chercher à forcer les réponses. Je me dis que ça fait un paquet d’années mine de rien, et qu’on est toujours sans se connaître. Et ça a quelque chose de.. je ne sais même pas comment le traduire, enfin c’est chouette et marrant, mignon et dommage, un peu dingue et tout ça. Je me disais que peut être un jour on aura des vies installées avec des familles et tout, et j’me suis demandé si on continuerait à être des récurrences dans la vie de l’autre, et je trouverais ça plutôt marrant en fait.
J’me disais aussi bien que ça n’ait aucun rapport, qu’on ne change jamais vraiment, jamais complètement. On est toujours en devenir, même si c’est bon de se rappeler d’où on vient. J'pensais aussi que tout n'est toujours qu'une question de timing et de circonstances, et qu'on n'a jamais été dans le bon.
J’sais pas trop pourquoi j’pensais à tout ça, en ce moment, je sais pas trop. Alors c’est agréable ces quelques mots de toi, même si tu dis pas grand-chose, juste une petite pensée ça m’a fait sourire.
Je suis toujours à lyon, au moins pour quelques temps encore. J’attends une réponse pour une thèse en suisse, et puis je ne sais pas si j’ai envie de rester ici. J’aime cette ville mais j’y suis sans attaches, et moi j’ai besoin de me tisser des ancrages là où je vis. Alors à voir, p’t’être que j’vais continuer de courir et puis, on verra.
En tous les cas, je t’embrasse, te souhaite tout le meilleur, espère des tes nouvelles, et j’suis ravie que ton atterrissage prenne plus de temps que prévu, j’me dis que c’est signe que tout va bien, et que t’es heureux.
Ecrit par Perfect-plank, le Lundi 6 Juin 2011, 01:17 dans la rubrique Actualités.
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