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Comme ils disent

Ca y est. C’est terminé. Cette semaine de folie. De partage, aussi. De fous rires entre midi et deux, de lassitude parfois, d'échanges terribles et géniaux.

 

Dans cette promo, y’en a un, enfin y’en a deux. Y’en a un j’ai eu l’impression que quelque chose passait, se transmettait, enfin, non, pas un, deux. Que quelque chose s'était déclenché, que, ça y est, ils ouvrent les yeux et comprennent où on va. Y’en a un il nous a écrit une carte, pour dire en un mot comme en mille, merci.

 

Contrairement à ce que je peux penser, ils connaissent mon prénom et me traitent, pour la plupart, avec égards.

 

Mais ces deux là. L’un dans sa distance paisible, tranquille, depuis le début de l’année. Cet investissement silencieux. Cet engagement, mais toujours humble. J’ai eu cette sensation qu’il y avait cette reconnaissance toute la semaine. Que les regards se croisaient, et échangeaient, que ça rebondissait d'une idée à l'autre. Je sais que cette carte vient de son groupe de travail. Des gens qui valent la peine de faire ce qu'on fait. Une carte, timbrée, posée dans une boite aux lettres de prof.

 

Et puis l’autre. Dans un registre beaucoup plus immature. Mais quand même.

 

Quoi qu’il en soit. Se rappeler qu'on est étudiant. Qu'on est sur un pied d'égalité, même si j'ai un peu d'avance.

 

Et puis se lover dans cet imaginaire.

Ne pas vouloir me confronter au réel du rejet possible. Même si. Ils évaluent, quand même, même qu'on leur demande. Donnent leur avis, anonymes. Peuvent blesser. Mais il y aura toujours cette poignée de quelques uns, pour qui. Une poignée.

 

 

 

Mon absent m’écrit qu’il a aimé nos derniers échanges. Alors effectivement. Oui. Et puis il y a cet autre, qui me parle tout à coup d’une autre nana dans son quotidien. J’lui demande s’il entretient beaucoup de relations ambigues comme celle-ci, comme la nôtre, et il ne comprend pas de quoi je parle. J’ai du mal, réellement, à saisir les suites.

 

 

 

J’ai presque envie de dire j’attends tes mots avec impatience.

 

Et puis je devrais aussi dire que j’ai trouvé ça beau, tu m’as demandé ; oui, je te dis au moins que je trouve ça beau.*

 

 

 

J’ai croisé un Laurent qui voulait boire un verre. Et j’me suis dit pourquoi pas. Mais aujourd’hui, c’est trop compliqué.

 

Si dieu le veut, comme il dit.

 

Si dieu le veut.

 

 

Ecrit par Perfect-plank, le Vendredi 26 Février 2010, 20:26 dans la rubrique Actualités.


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